Chapitre deux:

L'entrée d'une infirmière dans la chambre interrompit mes sombres pensées. «  - bonjour Mlle Perula. Demain

matin vous devrez passez une radio».

Le lendemain, une infirmière vint me chercher et m'amena dans une petite piéce où il y avait un apareil. Elle me fit

asseoir a un endroit et me dit  : ne respirez plus. Je retins donc ma respiration. Au bout de quelques seconde,

l'infirmière me dit que je pouvais a nouveau respirer et me pria de la suivre  . Elle m'enmenna dans la piece a cote ou il y avait les

radios de mes os qu'on venait de prendre. «  Vous voyez, me dit elle, vos côte (qui étaient cassées) sont presque réparées.

Vous pourrez sûrement sortir d'ici quelques semaines.  »

Cette nouvelle aurait dû me rassurer. Je vais bientôt pouvoir partir. Oui mais, pour aller où  ? Je n'ai plus aucune

attache ici, tous ceux que j'aimais sont mort. Tous. Par ma faute. Je ne veux pas retourner dans mon

appartement. Je ne veux même pas retourner en ville. Je veux fuir. Fuir le passé, fuir la souffrance, la tristesse... Je

veux ârtir très loin, là où personne ne me connaitra, où personne ne pourra dire « tu vois cette fille là bas ? Et bien

par sa faute tous les gens à qui elle tenait son mort ». De toute facon je n'ai plus d'attaches, je n'ai de place nulle

part. Et Charlie? Qu'est-il devenu ? Peut-être est-il en train de guetter ma sortie pour pouvoir m'assassiner ? Est-il

toujours en liberté ? A-t-il seulement ruiné ma vie, où celle d'autres malheureuse personnes ? Pourquoi s'en être

pris à mes proches, plutôt que directement à moi ? Pour mieu me faire souffrir ? J'étais une fois de plus perdue

dans mes pensées lorsque j'entendis quelqu'un m'appeler. « Adeline ? Est-tu sure que ca va ? Tu sais, nous

sommes voisines de chambre et, si tu as un problème, tu peu m'en parler. » Sans que je ne m'en soirt rendue

compte, des larmes baignaient mes joues. Lisa est si gentille avec moi... Peut-être faudrait-il que je lui dise ? Peut-

être saura-t-elle trouver les mots justes pour apaiser mon chagrin ? Faut-il que je lui fasse part de ma souffrance ?

Mais et si IL la retrouve ? Si par ma faute sa vie était en danger ?