Voila ce que pour toi je ressens 

Ecrit noir sur blanc

La vérité

Et je ne peux plus te la cacher

Est que depuis que je t'ai vu

Depuis le debut,

Mon coeur ne bat que pour toi

Ecoute le, ne l'ignore pas

Il m'a moi même fallu du temps pour comprendre

Ce que je ressentais pour toi, à toi de me rendre

Ce pourquoi je suis là

N'oublis pas que tu me dois

Un service

Je n'ai pas de malice

A te demander ça,

Mais s'il te plait, fais ça pour moi

Dis moi ce que de moi tu penses

Folle, conne, taré, allez balance

Apres tout inconsciament tu m'a blaisser

Et je ne peux te laisser

Plus longtemps 

Jouer avec mes sentiments

Je t'en supplie

Apres je m'enfuis

Tu ne me reverra pas

Juste si tu me dis ce que tu pense de moi

Je ne sais pas quoi faire

Pour que tu me vois

Chaque jour c'est un enfer

Car tout en restant moi

Tu me traites d'imbécile

De folle et tu me detestes

Cela fait naitre sur mes cils

Une larme de tristesse

Suis-je si invisible ?

Tu me vois 

Mais s'en ai risible

Car tu ne me regardes pas

Je t'envoi toute ma détresse

Mais tu l'ignore

Tu le sais mais tu me laisse 

Souffrir, m'appitoyer sur mon sort

Mais quand viendra ce jour

Ou tu poseras tes yeux sur moi?

En attendant, ce poème je l'écris pour

TOI

poeme ecrit aujourd'hui  un peu pendant le cours de francais et le cours de maths:

Elle était là,

A me regarder,

Je n'ai rien vu venir, et,

La seconde d'apres 

Sur ses joues des larmes coulaient

Et je me trouvais 

Là, prisonnier

Entre l'enfer et la realité

J'essayais de la consoler

Pendant que dans ma tete je repensait

Aux evenements qui, hier s'etait déroulés

Je revoyais

Ce sourire plein de méchanceté

Quand il nous a enlever

Puis jeter dans cette prison désafecté

Que nous veut-il?

Si seulement je savais...

Nous ne lui avons rien fait,

Qu'il nous laisse en paix...

Une semaine a passé

Nous sommes affamés, asoiffés 

Nous voyions venir 

La mort et son empire

Si elle venait a mourrir

Avant qu'il ne m'arrive de partir

Pendant ces quelques instants qui me resterait

Jamais, je ne cesserait de regretter

Et de n'avoir pu poser

Un baiser sur ses lévres glacés

Et dans un dernier soupir,

Nous nous etreignirent 

Avant de sombrer

Dans la mort a tout jamais

Je ne lui aurai jamais avouer 

De mon vivant que je l'aimais

Tous n'aretaient

De le questionner

De lui demander

De l'enerver

Il ne savait que faire

C'était un enfer

Et au lieu de le consoler,

Les autres l'enervaient

Meme sans le faire expres

Il ne savait

Que leur répondre,il se taisait

Et les autres continuaient

En guise de toute réponse,

Une larme, de ses yeux a coulé

Il pleurait

ecrit aussi le vendredi avant les vacances, pendant le cours de francais cette fois, pour essyer declaircir mes sentiments

Je ne sais plus ce que je ressens

Ni quels sont mes sentiments

Je confond amour et amitié

Je ne sais

Lequel j'aime au fond de moi

Je suis troublé

Il s'est passé

Trop de choses en une journée

Mes sentiments ont chagé

Et je ne peu plus supporter

Le fait

De ne plus connaitre,

De ne plus comprendre mes sentiments

Et ce qu'au fond de moi je ressens

Mais au fin fond de la nut,

La lumiere se fit

Et je peu a présent

Comprendre mes sentiments

Et c'est, maintenant pour lui que mon coeur bat

Meme si je ne le connais presque pas